Culture ménagère #3
Livre : Harlan Coben - Faute de preuves
Synopsis : « Wendy, célèbre journaliste dans une émission de téléréalité, piège en direct des prédateurs sexuels. Quand elle coince Dan Mercer, tous les faits accablent cet assistant social responsable d’adolescentes en difficulté. Pire encore, il est même soupçonné de meurtre. Pourtant, Wendy le sent, quelque chose cloche. Et si elle s’était trompée ? Si Dan était innocent ? Elle décide alors de mener sa propre enquête. Peu à peu, ses investigations l’entraînent dans le passé de Dan, à l’université de Princeton, lorsqu’il partageait sa chambre avec quatre copains inséparables… Secrets du passé, disparitions, complots machiavéliques, manipulations sur le Net : Wendy n’aurait jamais pu imaginer tout ce qu’elle s’apprête à découvrir. Mais elle est allée trop loin. Bientôt, le danger rôde et se rapproche, inexorablement… »
Ce que j’en pense ?
Du bon, du très bon Harlan Coben.
Autant j’avais été un peu déçue par le précédent, autant là , adeptes du polar, foncez les yeux fermés !
L’histoire se tient, l’intrigue est bien ficelée, les fausses pistes sont légions et, de fait, la fin est attendue mais attendrez-vous la bonne ?
Je crois vous avoir déjà dit que je ne suis pas super, super fan de Myron Bolitar ? Et bien il n’est pas dans cet opus !
Mais ce roman est dans la lignée de « Ne le dis à personne », « Disparu à jamais » ou encore « Sans un mot » qui ont fait le succès de « maitre du polar » de Harlan Coben.
Avec ce nouveau livre, Harlan Coben confirme qu’il est maître dans l’art du suspense policier.
Pas de la grande littérature mais du roman efficace, bien ficelé, haletant et dévoré en… 3 jours !
DVD : Benda Bilili
Ce documentaire se déroule en République Démocratique du Congo.
C’est l’histoire de Benda Bilili, un groupe de musiciens.
C’est l’histoire de gens atteints de la poliomyélite… mais pas que.
C’est l’histoire d’un gamin qui veut s’en sortir pour faire vivre sa mère.
C’est l’histoire de rencontres, de partages, de musique.
Des faubourg de Kinshasa à une l’organisation tournée européenne, nous vivons leur histoire.
Après visionnage de ce dvd, j’avoue ne pas trop savoir quoi vous dire ?
Les témoignages sont forts, poignants, touchants.
« La débrouille », grand principe africain de survie est plus forte que jamais dans ce reportage.
Personnellement je dois être trop sensible sur ce type de sujet car j’ai trouvé ça tellement émouvant que j’ai pleuré (un peu) et je n’ai pas tenu jusqu’au bout.
Trop de souvenirs d’une vie africaine, de sa misère, de mes « potes » polios avec lesquels je tapais la conversation tous les jours aux mêmes carrefours.
Nominé aux Césars dans la catégorie « Meilleur film documentaire », ce reportage est une grande leçon de vie.
A voir !
Manou
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Mots-clefs :afrique, Benda Bilili, dvd, Fautes de preuve, Harlan Coben, livre, polar
Bon, après avoir été influencée et acheté (et dévoré) Ken Follett, je vais te faire confiance et craquer pour Harlan.
Fais gaffe, tu vas dépasser Eamimy dans l’influence.
(Hiiiiiiiiiiiii)
Harlan Coben, il suffit de me dire que c’est un bon cru et je fonce, merci pour le tuyau.
Le documentaire, encore plus merci! Je vais essayer de me le procurer, même si,à te lire, je sens qu’il faut aussi que je prépare mon paquet de kleenex avant d’appuyer sur la touche lecture)
Si je puis me permettre un petit conseil documentaire : « Kinshasa Symphony » http://www.kinshasa-symphony.com/index.php?id=7&L=2. Génial! (peut-être en avez-vous déjà parlé, si oui excusez la redite, j#ai fait une loooongue pause blog^)
J’ai laissé tomber Harlan il y a quelques temps déjà mais je vais craquer pour celui ci je le sens. Quand on aime le roman policier, on ne se refait pas …
j’ai vu benda bilili au cinéma, c’est un concentré d’énergie et de joie de vivre,
un de ces films dont on sort regonflé et qui remet nos soucis quotidiens à leur juste place
..et oui, c’est vraiment cette Afrique incroyable de la débrouille et de cet incroyable appétit de vie
Moi aussi j’avais laissé tomber Harlan depuis Myron Bolitar dont je ne suis pas fan non plus alors si tu trouves que c’est un bon cru je vais me laisser tenter avec plaisir.
J’ai toujours bien aimé Coben (pour le précédent il avait l’excuse de la réédition d’un truc de jeunesse, dispensable…) Hâte de lire celui ci !
Moi j’adore Myron… Je l’imagine un peu comme Hank Moody en moins trash