Silence

Quand on a rien à dire…
… On ferme sa gueule !

C’est donc ce que je fais aujourd’hui.

En vous laissant toutefois ces magnifiques images de points de croix.


C’est qu’on est très tendance par ici !
(comprendra qui voudra)

La semaine prochaine on passera aux gif animés

Manou


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Bi-bip bi-bip bi-bip bi-bip …

C’est les vacances de Pâques !!
Chouette non ? On a vendu les gosses, et le soleil est au rendez-vous.
Il fait doux, le chauffage est coupé, et les fenêtres à nouveau ouvertes une bonne partie de la journée, et de la nuit aussi.
Les oiseaux chantent, les bourdons bourdonnent, et les fleurs sont, ben… fleuries.

Tout serait parfait, si…

Vous connaissez les étourneaux ? soit disant qu’ils n’ont pas de mémoire. Soit disant.
Soit disant aussi que ces bestioles savent imiter tous les chants des autres oiseaux. Soit disant.

Pour la première affirmation, je confirme.
Pour la seconde, aussi.

Comment que je le sais ?

Parce qu’il y a un crétin (et encore je reste polie) d’étourneau qui a trouvé le moyen d’apprendre un chant, pas le sien, et que ce chant fait exactement : deux notes, c’est dire la mémoire du piaf !

Pas compliqué sa petite musique :
Bi
et bip.

Soit exactement la sonnerie de mon réveil, quand il n’est pas en mode radio.

Et que ce crétin (et je reste toujours polie) nous la chante non stop.
Tous les jours.
Depuis 3 semaines.
Dès le lever du soleil.

Soit actuellement .. euh.. très tôt. Bien trop tôt.

Alors oui, c’est les vacances, oui, les gamins sont partis, oui, il fait beau, chaud, les oiseaux, les tites fleurs toussa,

mais je veux dormir !!! Faire des grasses mats !

Quelqu’un aurait une idée ? (et non, j’ai pas de fusil et non, je ne sais pas tirer au lance pierres).

Dom

Le truc en plus : C’est sympa l’amitié.
Sauf que quand j’apprends que Johnny Halliday (beark !) va chanter le 14 juillet prochain (merci PrésiCopain) et qu’il va toucher 500 000 euros de cachet, alors que le gars, même pas il paye ses impôts en France (par contre, la sauterie, c’est nous qu’on va la payer, ne rêvez pas)…

Comment dire ?
Non, on dit rien, vaut mieux.


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Les ménagères en bikini (et ta mère en tong) !

Et paf le chien, comme chaque année et comme une ritournelle lancinante, le marronnier du printemps revient !

Et ouais, on a bouffé des corps gras tout l’hiver pour se réchauffer, et que miam les raclettes et tartiflettes, et que glups les plats en sauce…
Ah ça on peut dire qu’on s’est réchauffé !
Et bonjour les bouées !

Mais, par la grande magie des média, en ouvrant les magazines féminins, on va lire encore et encore, et c’est que le début d’accord, d’accord, qu’il existe pléthore de solutions pour ne pas ressembler à des cachalots dans nos bikinis estivaux !

Si si… Après les plats riches en graisse, voila les crèmes magiques anti-capitons et les recettes allégées. Et oui, v’là le printemps, bonjour bonjour les hirondelles et… la sortie de nos silhouettes de loukoum !
C’est comme ça que j’ai découvert, oh combien surprise, le programme pari bikini de kellog’s, 15 jours pour mincir !

Alors oui ça surprend, moi-même j’ai ricané comme une bécasse (phénomène assez récurrent chez le spécimen Manou) quand on m’a invité dans un atelier culinaire pour cette marque de corn flakes. Avec mon for intérieur on s’est dit que ouais fallait au moins un tablier de chef pour apprendre à touiller ses céréales dans son bol de lait !
Qu’est-ce qu’on est critique par chez moi.

Sauf que, quand on est arrivé et que le chef du tablier nous a sorti son curriculum vitae, ça nous a tous calmé.

Bon donc quoi de neuf à l’horizon ?
Ben rien j’ai envie de dire. Si t’es boubou tu resteras boubou (blague ivoirienne pourrie inside) mais tu perdras p’tet tout de même quelques grammes.

Et sinon ?
On a joué les toqués, on a vraiment cuisiné avec des corns flakes et, laissons nos préjugés au vestiaire, c’était super bon !!

Au programme, attention, je ne vais pas mettre les recettes car j’aurais peur d’embrouiller wikio, blog chronique ? blog culinaire ? entre les deux son cœur pourrait balancer (en vrai j’suis qu’une feignasse mais je vous mets les liens de gens plus vaillants)
Tartare de tomate façon cheesecake avec spécial K nature (la recette est )
Escalopines de poulet panée aux céréales (la recette sera aussi bientôt là)
Et tout plein de desserts avec des céréales que vous pourrez surement retrouver sur le site dédié.

Alors, si comme moi, vous voulez jouer les sirènes (oui c’est pas gagné en ce qui me concerne) dans la piscine du camping des Flots bleus cet été, suivez le guide le programme soit sur les paquets de céréales spécial K soit (gratos) sur le site www.specialk.fr (à partir du 17 Avril).

Un jour, sur les ménagères, on sera toute maigres et on mettra des photos de nous en maillot, un jour !

Manou


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Famicity, restons connectés !

Billet sponsorisé

La famille, c’est sacré. Enfin il parait, parce qu’à la vérité, la famille, c’est un peu qui on veut, en fait. Frères et sœurs, mais aussi enfants, beaux enfants, beaux beaux enfants, demi frères, demi sœurs, mais aussi amis, friends, poteaux et potines, nous sommes dans l’ère des familles recomposées et des tribus, nos parents, nos amis, nos potes.

Quand on vit loin de ses proches, comme nous l’avons vécu durant de nombreuses années en Afrique, il est parfois compliqué et surtout très onéreux de donner de ses nouvelles, rester en contact, montrer les progrès du petit dernier, ou les prouesses (ou les gamelles, c’est encore mieux) de notre moitié en ski nautique.

Le moindre coup de fil coûte un bras, les envois postaux se perdent ou mettent des mois à arriver, on peut rester parfois des semaines sans recevoir ou donner de ses nouvelles. De même, quand on a vécu à l’étranger longtemps, on se constitue peu à peu un réseau d’amitié qui peut aller du Burkina à la Nouvelle Zélande, pas le genre de potes à qui on téléphone toutes les semaines ni même qu’on visite…

Du coup, un site comme Famicity, c’est exactement ce qu’il nous faut, un site pour partager ses photos, mais pas que, un site pour rester en contact avec ses proches, mais pas que, un site où l’on peut même construire l’arbre de sa famille, mais pas que…

Un site communautaire et familial, qui permet à chacun de créer un blog, poster ses photos, partager son actu, mais aussi un bon outil pour renforcer ses liens familiaux, liens qui tendent à se distendre avec les distances et les vies de dingues qu’on a, il faut bien l’avouer.

Famicity, né de la volonté de Jérôme et Guillaume de faire revivre le concept de site familial, permet également de partager dans la rubrique “chroniques”, avec l’ensemble des inscrits, ses infos, nouvelles ou simplement sa culture ou ses passions.

Un site sécurisé, dont les alertes arrivent sur votre page d’accueil, pas dans votre bal, pas de spam en vue.

Après, comme tout réseau, on en fait un peu ce qu’on veut…

Que ce soit, comme pour Manou, la possibilité de pouvoir enfin voir grandir son petit frère, qui vit à 6 000 kms d’elle, pouvoir lui envoyer des nouvelles, en prendre, construire l’arbre de cette famille à la fois recomposée, et éparpillée aux quatre coins de la planète. Etre simplement présente dans sa vie.

Ou, comme Dom, pouvoir partager davantage avec ses potes, qu’ils soient en Australie, à Dakar, ou en Caroline du nord, conserver et faire vivre cette famille de cœur en donnant des news, et en en recevant.

Alexandre a écrit ses premiers mots ? Le scan sera en ligne de suite, fautes d’orthographes comprises.

Virginie vient d’accoucher d’un petit Léo à Sydney ? Chouette, les photos sont en ligne avec le récit de cet événement.

Tonton revient de Grèce ? on bave devant ses tofs de vacances, et on profite des paysages.

Thierry part vivre au Canada ? Oui, mais on restera en contact et si auparavant, le départ des amis signifiaient souvent la fin d’une belle amitié, aujourd’hui et c’est tant mieux, les distances ne comptent plus.

Et cela, c’est une vraie révolution.

Les ménagères

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Sacs de billes et flibustiers

L’un a 78 ans, l’autre 9.

Je les ai rencontrés tous les deux au salon du livre de Montaigu en allant rendre visite à ma copine Agnès.
Un salon dans lequel, nous avons, Shalima, sa fille et moi trainé de longues heures et duquel nous sommes reparties chargées de livres, essai, bd, tous plus passionnants les uns que les autres.

L’un s’appelle Joseph, Joffo Joseph, comme mes grand-pères, tous les grand-pères s’appellent Joseph, il a écrit “un sac de billes” en 1973, et sa suite, baby foot en 1977, au siècle dernier.

Ses livres parlent de l’enfance juive, témoignages de la guerre et l’après guerre, des souffrances de la déportation. Sac de billes, livre et auteur cultes, et que je suis toute émue de rencontrer.

Il a 78 ans et est vert comme un jeune chêne, galant, dragueur, drôle et très très sociable. Il le dit lui même : “je pourrais arrêter, mais j’aime trop mes lecteurs”.

Comme tous les grands écrivains, comme tous les grands hommes, il ne se la raconte pas, n’a pas le melon et vient dans les salons littéraires, parce que justement, dans les salons littéraires il y a quoi ?

Des lecteurs pardi !

Et il pose, rit de ses propres bêtises, prend tout son temps pour vous expliquer ses histoires, écrit des poèmes et fait des marguerites en dédicaces sur les pages de garde des livres, les siens, qu’il vous vend par paquet de 12, avec la gouaille d’un vendeur ambulant malien.

Cet homme est un séducteur, attention !

l’autre a neuf ans, neuf ans !! l’âge du Wanou.

Il a déjà reçu en 2008 le prix de la jeunesse littéraire pour son talent précoce.
Il s’appelle Charles Antoine Cros et se tient derrière son stand, fermement encadré par son père et sa mère, écrivain également.
Et lui aussi, avec toute la fraîcheur de ses jeunes années, dédicace en souriant, discute, raconte, se raconte, explique sa passion de l’écriture qui l’a si tôt gagné, ne regarde ni sa montre ni le nombre de livres que vous lui prenez, il a la passion de l’écriture en lui, ça vous saute à la figure.

Il dessine lui aussi, sur ses pages de garde, des épées tantôt droites, tantôt sabres tordus, et tout l’enthousiasme de l’enfance se retrouve dans sa satisfaction d’avoir su tracer si bien à la règle les droites des épées dédicaces.

Il a déjà écrit deux livres, et cela me fait tout drôle de tendre en rentrant au Wanou les œuvres d’un auteur de son âge, si petit, et déjà si talentueux, quel poids à porter !

Tout comme Agnès qui ne calcule ni son temps, ni ses sourires, ni même les petits dessins gribouillés rapidement en plus d’un mot gentil et d’un prénom, Je termine la visite de ce Printemps du livre en constatant que de 9 à 78 ans, quand le talent est là, l’humilité et la gentillesse sont de mise, aussi.

Merci à eux !

Dom


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